Comme on est le 12 mars je ne peux que commencer par Terry Pratchett.
Je l’admire pour sa capacité à mettre l’humour au service d’histoires et de thématiques sérieuses.
Les premier romans du Disque-Monde était surtout des pastiches, mais il a su aller beaucoup plus loin que ça, et nous offrir des histoires profondes et émouvantes, sous couvert de rigolade.
Pour moi on n’émeut jamais autant qu’après nous avoir fait rire.
Il y a 4 ans, en apprenant sa mort, j’ai chialé.
Et en écrivant ces lignes, j’ai encore la larme à l’œil
“A man is not dead while his name is still spoken.”